Ce roman initie une volte-face de la littérature, en mêlant tous les genres tels qu’ils existent dans la nature, c’est-à-dire pas rangés en petites cases proprettes, comme les gardiens eunuques du harem littéraire les voudraient.
Ceci est un roman démocratique, un roman qui n’a pas peur du dialogue avec le lecteur. En fait, c’est un antiroman.
Cette chronique a déjà été lue 9867 fois.
Commentaires récents